Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides

Traduction anglaise

Avec l'arrivée du printemps, la population doit demeurer vigilante et maintenir les bons comportements adoptés tout au long de la période de confinement. La Direction de santé publique des Laurentides tient à rappeler à la population l’importance de maintenir les bons comportements acquis durant la pandémie. Le succès du déconfinement repose grandement sur la capacité des gens à appliquer les nouvelles consignes sanitaires dans leurs actions quotidiennes.

Lors des beaux jours, il peut être tentant de profiter des infrastructures et commodités offertes par les municipalités et les MRC. Dans tous les cas, vous devez valider les consignes émises par les autorités et voir à leur respect. Aussi, nous souhaitons souligner quelques indications liées au déconfinement progressif, car il ne faut pas associer ces réouvertures à la fin de la pandémie et au retour aux anciennes habitudes.

Afin d’assurer le succès du déconfinement en cours, nous vous rappelons que vous devez respecter :

• La distanciation physique (garder deux mètres entre chaque personne qui ne partage pas la même résidence);
• L'importance du lavage fréquent des mains et de l'hygiène respiratoire.

Pour connaître les consignes à suivre, nous vous invitons à consulter régulièrement le site internet du gouvernement du Québec.

Aussi, si vous présentez des symptômes liés à la COVID 19, restez à la maison et communiquez avec le 1 877 644‑4545 (sans frais). Les principaux symptômes sont les suivants :

• Fièvre;
• Apparition ou aggravation d’une toux;
• Difficultés respiratoires;

      ou 

• Perte soudaine de l’odorat sans congestion nasale, avec ou sans perte de goût.

Les symptômes peuvent être légers et s’apparenter à ceux du rhume. Ils peuvent aussi être plus sévères, comme ceux associés à la pneumonie et à l’insuffisance pulmonaire.

« Je tiens à remercier la population respectant les consignes émises. Tout le monde peut contribuer par de simples gestes qui font une grande différence », de conclure Dr Éric Goyer, directeur de santé publique des Laurentides.